MIA PROMOTION CANAPE

Une fois finie notre affaire nous avons eu une discussion sur l'oreiller. Je lui ai posé la question pourquoi il ne m'avait rien dit pour l'histoire de mon patron. Et là il est parti nous faire une tisane pour commencer une tirade.

Philippe: Je ne t'ai pas dit que c'était moi ton patron car j'avais peur que tu te sentes obligée par rapport à moi.

Moi: Obligée à faire promotion canapé!

Lui: Mais non, Mia. Mais j'étais sûr de tes compétences et en plus une nouvelle dans le monde du travail on pouvait te former comme on voulait plus tu as un potentiel d'intelligence alors avec tous ces critères c'était le tiercé gagnant.

Moi: Tu parles de qui nous tu n'es pas seul

Lui: En fait vois- tu, je connais ton ex-boss depuis que j'ai cinq ans c'était le meilleur ami de mon père.

Moi: C'est bizarre car j'ai pas l'impression que tu connaisse bien Serpent à Lunettes.

Lui: Tu as raison. Sa mère ne supportait pas la mienne histoire de jalousie de femme. Là mienne étant mannequin.

Moi: D'où voilà pourquoi tu es un beau gosse.

Lui: Et donc Mia si tu m'interromps tout le temps je vais pas finir mon histoire.

Moi: Oui d'accord.

Lui: Mia je viens de te dire quoi.

Moi: Ok ok...

Lui: Donc mon père rencontrait ton ex-boss au restaurant golf et je l'ai toujours entendu dire que Jacques était un tueur en affaire. D’où quand le PDG de ma boite est parti en retraite je lui ai demandé s' il n' avait pas quelqu'un à me conseiller il m'a tout de suite donner ton nom et il m'a dit que tu avais juste besoin d’être un peu formée mais qu'il pensait vraiment que tu allais devenir le numéro un working girl de la planète.

Moi: Comme il est gentil d'avoir cru en moi. Dire que lorsque je bossais chez lui je pensais qu' à me faire les ongles et....

Lui: C'est drôle comment tu surnommes François-Michel. Moi aussi j'ai un surnom.

Moi: Juste le voisin.

Lui: En tout cas, il avait raison tu es vraiment forte dans le business.

Moi: Merci, et en plus je couche avec mon patron.

Mia Kennedy pour DayNewsWorld